Il y a mille manières de récuser cette copie, aujourd’hui au Metropolitan Museum of Art de New York, peinte par Emile Schuffenecker d’après la toile aujourd’hui au Musée d’Orsay. L’un des angles est de remarquer comment elle reçoit la lumière et quelques défauts redhibitoires.
Commentaire
Les historiques des cinq portraits peints par Vincent de Marie Ginoux en Arlésienne ont été joyeusement mélangés. Erreurs et inventions ont permis de munir de faux papiers la copie, aujourd’hui au Metropolitan museum of Art de New York – prise par Schuffenecker au début des années 1890 – de l’Arlésienne de Vincent aujourd’hui au musée d’Orsay. Quelques esprits sourds aux critiques s’abritent derrière ces faux papiers. Retirer cette illusoire protection conduira au nécessaire déclassement de ce faux. Exposé des provenances, donc.
Références
e-book Four fakes Possibilité arlé cline/clean