Cette vidéo dénonce la copie, conservée au Kunstmuseum de Bâle. Elle a été peinte par Emile Schuffenecker, entre 1894 et 1896, d’après “Jardin de Daubigny” de Vincent aujourd’hui à Hiroshima. Effroyable en tout, dénoncée à de multiples reprises, prouvée fausse par Albert Hentzen en 1934, elle continue à faire les délices des montreurs d’ours. La mystification a laissé nombre de traces, le mécanisme de la supercherie est ici exposé. Le repentir de l’église suffit à montrer qu’il s’agit de la première et dernière, seule et unique “version”.
Commentaire
Cette vidéo dénonce la copie, conservée au Kunstmuseum de Bâle. Elle a été peinte par Emile Schuffenecker, entre 1894 et 1896, d’après “Jardin de Daubigny” de Vincent aujourd’hui à Hiroshima. Effroyable en tout, dénoncée à de multiples reprises, prouvée fausse par Albert Hentzen en 1934, elle continue à faire les délices des montreurs d’ours. La mystification a laissé nombre de traces, le mécanisme de la supercherie est ici exposé. Le repentir de l’église suffit à montrer qu’il s’agit de la première et dernière, seule et unique “version”.
Références
Die Verschwudene Katze