Pire des falsifications réalisées par l’atelier Gachet – avec la fausse gravure dite de “L”Homme à la pipe” –, la toile des “Vaches”, n’avait au départ qu’un sens : donner l’llusion que Vincent avait travaillé d’après le docteur Gachet. Aucun spécialiste n’ignore la fausseté de cette horreur peinte d’après une aquarelle, d’après une eau-forte, d’après, dit-on, “un croquis”, lui-même réalisé d’après une étude de vaches de Jacob Jordaens. La déclasser risquerait cependant de mettre en péril d’autres falsifications du même atelier et, par voie de conséquences, de montrer que des experts incompétents qui l’ont protégée ont abusé l’amateur. Telle est l’imposture qu’aujourd’hui on protège.
Références
L’Affaire Gachet, l’audace des bandits, pages 331 à 342
Commentaire
Pire des falsifications réalisées par l’atelier Gachet – avec la fausse gravure dite de “L”Homme à la pipe” –, la toile des “Vaches”, n’avait au départ qu’un sens : donner l’llusion que Vincent avait travaillé d’après le docteur Gachet. Aucun spécialiste n’ignore la fausseté de cette horreur peinte d’après une aquarelle, d’après une eau-forte, d’après, dit-on, “un croquis”, lui-même réalisé d’après une étude de vaches de Jacob Jordaens. La déclasser risquerait cependant de mettre en péril d’autres falsifications du même atelier et, par voie de conséquences, de montrer que des experts incompétents qui l’ont protégée ont abusé l’amateur. Telle est l’imposture qu’aujourd’hui on protège.
Références
L’Affaire Gachet, l’audace des bandits, pages 331 à 342